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N1M 2020/2021 | J1 : La jeunesse sélestadienne prend le pouvoir !

La jeune garde alsacienne n'a pas failli à la tâche pour son grand retour en championnat et la venue d'Epinal. Les protégés de Thierry Demangeon remplissent leur part du contrat en signant leur première victoire (38-28). Maintenant il va falloir remettre le couvert lors d'un déplacement vers Folshviller et qui ne sera pas forcément une sinécure pour les jeunes alsaciens.

On l'attendait cette grande rentrée et la réserve de Sélestat qui affichait ses pépites telles que Hugo Pimenta, Grégoire Plat, Simon Jaeger et consort pour la réception d'Epinal. Une rencontre globalement maîtrisée dans les grandes largeurs pour les ouailles de Thierry Demangeon qui ont déroulé dans le dernier quart d'heure pour assurer le spectacle et le goal-average (38-28, MT : 19-16).

Sélestat début en trombe

Sans complexe, les Sélestadiens débutent pied au plancher et frappent d'entrée (6-2 puis 12-7). Rotations oblige et Epinal trouve des solutions pour réduire l'écart juste avant la pause, sans pour autant mettre réellement l'édifice alsacien en danger (+3). Certes, l'écart aurait et devait être plus important sur la forme, mais sans s'affoler le SAHB reste devant et rentre aux vestiaires en tête (19-16).

On s'applique à faire proprement les choses

Les Spinaliens sans doute vexés et remis en place par leur entraîneur vont rester à portée de tir au retour des vestiaires et se procurer des occasions. La défense sélestadienne ne tremble pas, tout comme ses gardiens et la recrue Lucas Le Louet (8 arrêts) se signale. Offensivement, on repart de plus belle avec toujours les artilleurs longue distance tel Plat (6), Van Ee (5) et sans oublier les prises d'intervalle de Pimenta (5) ou de Jaeger (6). Tout le monde participe à la fête à l'image du pivot Olivier Jung de retour dans son club de coeur. Sélestat ne fait plus aucune concession, déroule et Epinal doit essuyer les plâtres (-10). Succès net et sans accroc pour les jeunes alsaciens qui vont devoir montrer le même visage et la même envie pour un voyage en Lorraine pour y retrouver une formation de Folschviller battue du côté de Belfort (32-36), mais jamais simple à manoeuvrer sur ses terres.

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